Parfois les pieds sillonnent, des allées ombragées.
Les âmes y papillonnent, les ailes déployées.
Les cendres tourbillonnent, expliquent le passé.
Tombe une brume aphone et moi j’ai trébuché.
Ô toi l’ombre bouffonne, laisse moi m’en aller.
Entend le vent chantonne, il me laisse espérer.
Ô lune qui rayonne, sur les êtres blessés,
Toi l’unique couronne, que je voudrais porter…