Huile sur toile – 65×100 – 2014
Ne sache regarder,
quand l’aube farde les temps de teintes mystérieuses,
la journée en nuisette, coquinette coquette.
Ne puisse t’émerveiller ?
L’ étoffe féérique cache l’aura d’une eclipse.
La courbe des Adieux n’est pas Apocalypse.
Ne sache contempler,
Hélios offre à la sorgue, danse révérencieuse,
soupoudrant l’escampette, de milliers de paillettes.
Ne puisse t’attrister…
Scintillent toutes les vertues dans les cristaux de gypse.
La courbe des Adieux est une grande ellipse.